notre seigneur tabaraka wa ta^ala dit dans le qour’an honoré : [sourat an-nahl / 18] ce qui signifie :
"et si vous énumériez les bienfaits que Allah vous a accordés, vous n’y parviendrez pas ; certes Allah est celui qui accorde le pardon et qui fait miséricorde".
le plus grand des bienfaits dont Allah nous a gratifiés est le bienfait de la foi. en quoi serait profitable le bien du bas-monde après la mort si jamais celui qui le détenait était mort non musulman ? que chaque musulman s’efforce de faire en sorte que tous ses souffles soient utilisés pour l’au-delà. les évocations de bien sont un bien pour lequel ton seigneur te rétribuera.
rappelle-toi mon frère en Islam la parole de soulayman ^alayhi s-salam à l’agriculteur qui l’avait vu sur le tapis volant et s’était exclamé : Allah a accordé une grande souveraineté à la famille de dawoud ! soulayman était revenu vers lui et lui a dit : « je reviens vers toi afin que tu ne souhaites pas ce que tu ne peux obtenir ; une seule tasbihah, c’est-à-dire la parole « soubhana l-lah » que Allah agrée de ta part vaut mieux pour toi que le bas-monde et ce qu’il contient ».
ecoutez avec moi mes frères de foi le récit d’une femme des fils de isra’il qui était musulmane, qui s’adonnait aux actes d’adoration et qui était vertueuse.
elle était la fille d’un roi. un prince, fils de rois, s’est avancé pour la demander en mariage. mais elle avait refusé de l’épouser.
elle dit à une femme à son service : va et cherche moi un homme pieux, ascète, qui s’adonne aux actes d’adoration et qui soit pauvre.
la femme s’en alla et trouva un pauvre qui s’adonnait aux actes d’adoration et qui était pieux.
elle le ramena alors auprès de sa maîtresse.
cette dernière lui dit :
si tu veux m’épouser, je viens avec toi auprès de qui nous fait un contrat de mariage.
il accepta et ils firent le contrat de mariage.
elle lui dit ensuite : emmène-moi auprès de ta famille.
il lui dit :
par Allah, je n’ai rien d’autre que cette cape sur le dos qui me sert de couverture la nuit et de vêtement le jour.
elle lui dit :
je suis satisfaite de toi ainsi.
une fille de rois qui dit à un pauvre ascète : je t’accepte ainsi.
il l’emmena voir sa famille.
il travaillait de jour et lui ramenait le soir ce qui lui permettait de manger. elle ne mangeait pas les journées mais faisait des jeûnes surérogatoires, par recherche de l’agrément de Allah ta^ala. lorsqu’il lui ramenait quelque chose, elle rompait le jeûne en en consommant et remerciait Allah dans tous les cas.
elle lui disait ensuite :
maintenant, je me consacre à l’adoration.
un jour, il ne put rien lui ramener. il en fut profondément affecté et se dit :
ma femme qui est chez elle, à faire le jeûne, m’attend pour lui ramener quelque chose pour rompre le jeûne !
il se leva, fit le woudou’, accomplit une prière puis invoqua son seigneur tabaraka wa ta^ala.
il dit :
seigneur, tu sais bien que je ne te demande rien pour mon bas- monde.mais ce n’est que pour satisfaire une épouse vertueuse.
Allah, accorde-moi une subsistance de ta part. certes, tu es le meilleur de ceux qui pourvoient.
une perle descendit alors du ciel. il la prit et l’emmena à son épouse. lorsqu’elle la vit, elle en fut profondément surprise et lui dit :
d’où as-tu ramené cela, une perle dont je n’ai vu rien de semblable chez ma famille ?
il lui dit :
j’ai recherché une subsistance par le travail aujourd’hui mais je n’ai rien pu obtenir. j’ai alors invoqué mon seigneur soubhanahou wa ta^ala qui m’a alors accordé cette perle qui m’est descendue du ciel.
elle lui dit alors :
va à nouveau à l’endroit où tu as invoqué Allah ta^ala, supplie-le et demande-lui :ô Allah,ô mon seigneur, si cela est une chose que tu nous a accordée pour le bas-monde, alors fais qu’elle comporte des bénédictions.
mais si c’est une chose que tu nous réserves pour l’au-delà qui est éternel, alors retire-la.
l’homme fit ce que sa femme lui a suggéré. la perle lui fit alors retirée. il revint à elle et l’en informa. elle dit :
la louange est à Allah qui nous a fait montrer ce qu’il nous réserve pour l’au-delà. puis elle ajouta : je ne prête pas attention si je ne possède rien de ce bas-monde qui va à son anéantissement. elle a ainsi remercié
Allah pour cela.
mes frères de foi, le bas-monde est comme une prison pour le croyant et comme un paradis pour le non-musulman, tout comme cela nous est parvenu dans les traditions.
ne vous réjouissez que d’une science ou d’une œuvre de bien. c’est ce qui sera le compagnon dans la tombe, lorsque la famille, les biens, les amis et les enfants vont se retirer après t’avoir accompagné lors de ton enterrement.
ya' Allah, ne fais pas que le bas-monde soit le plus gros de nos soucis et fais que nous y soyons ascètes, toi qui est le plus miséricordieux des miséricordieux.
"et si vous énumériez les bienfaits que Allah vous a accordés, vous n’y parviendrez pas ; certes Allah est celui qui accorde le pardon et qui fait miséricorde".
le plus grand des bienfaits dont Allah nous a gratifiés est le bienfait de la foi. en quoi serait profitable le bien du bas-monde après la mort si jamais celui qui le détenait était mort non musulman ? que chaque musulman s’efforce de faire en sorte que tous ses souffles soient utilisés pour l’au-delà. les évocations de bien sont un bien pour lequel ton seigneur te rétribuera.
rappelle-toi mon frère en Islam la parole de soulayman ^alayhi s-salam à l’agriculteur qui l’avait vu sur le tapis volant et s’était exclamé : Allah a accordé une grande souveraineté à la famille de dawoud ! soulayman était revenu vers lui et lui a dit : « je reviens vers toi afin que tu ne souhaites pas ce que tu ne peux obtenir ; une seule tasbihah, c’est-à-dire la parole « soubhana l-lah » que Allah agrée de ta part vaut mieux pour toi que le bas-monde et ce qu’il contient ».
ecoutez avec moi mes frères de foi le récit d’une femme des fils de isra’il qui était musulmane, qui s’adonnait aux actes d’adoration et qui était vertueuse.
elle était la fille d’un roi. un prince, fils de rois, s’est avancé pour la demander en mariage. mais elle avait refusé de l’épouser.
elle dit à une femme à son service : va et cherche moi un homme pieux, ascète, qui s’adonne aux actes d’adoration et qui soit pauvre.
la femme s’en alla et trouva un pauvre qui s’adonnait aux actes d’adoration et qui était pieux.
elle le ramena alors auprès de sa maîtresse.
cette dernière lui dit :
si tu veux m’épouser, je viens avec toi auprès de qui nous fait un contrat de mariage.
il accepta et ils firent le contrat de mariage.
elle lui dit ensuite : emmène-moi auprès de ta famille.
il lui dit :
par Allah, je n’ai rien d’autre que cette cape sur le dos qui me sert de couverture la nuit et de vêtement le jour.
elle lui dit :
je suis satisfaite de toi ainsi.
une fille de rois qui dit à un pauvre ascète : je t’accepte ainsi.
il l’emmena voir sa famille.
il travaillait de jour et lui ramenait le soir ce qui lui permettait de manger. elle ne mangeait pas les journées mais faisait des jeûnes surérogatoires, par recherche de l’agrément de Allah ta^ala. lorsqu’il lui ramenait quelque chose, elle rompait le jeûne en en consommant et remerciait Allah dans tous les cas.
elle lui disait ensuite :
maintenant, je me consacre à l’adoration.
un jour, il ne put rien lui ramener. il en fut profondément affecté et se dit :
ma femme qui est chez elle, à faire le jeûne, m’attend pour lui ramener quelque chose pour rompre le jeûne !
il se leva, fit le woudou’, accomplit une prière puis invoqua son seigneur tabaraka wa ta^ala.
il dit :
seigneur, tu sais bien que je ne te demande rien pour mon bas- monde.mais ce n’est que pour satisfaire une épouse vertueuse.
Allah, accorde-moi une subsistance de ta part. certes, tu es le meilleur de ceux qui pourvoient.
une perle descendit alors du ciel. il la prit et l’emmena à son épouse. lorsqu’elle la vit, elle en fut profondément surprise et lui dit :
d’où as-tu ramené cela, une perle dont je n’ai vu rien de semblable chez ma famille ?
il lui dit :
j’ai recherché une subsistance par le travail aujourd’hui mais je n’ai rien pu obtenir. j’ai alors invoqué mon seigneur soubhanahou wa ta^ala qui m’a alors accordé cette perle qui m’est descendue du ciel.
elle lui dit alors :
va à nouveau à l’endroit où tu as invoqué Allah ta^ala, supplie-le et demande-lui :ô Allah,ô mon seigneur, si cela est une chose que tu nous a accordée pour le bas-monde, alors fais qu’elle comporte des bénédictions.
mais si c’est une chose que tu nous réserves pour l’au-delà qui est éternel, alors retire-la.
l’homme fit ce que sa femme lui a suggéré. la perle lui fit alors retirée. il revint à elle et l’en informa. elle dit :
la louange est à Allah qui nous a fait montrer ce qu’il nous réserve pour l’au-delà. puis elle ajouta : je ne prête pas attention si je ne possède rien de ce bas-monde qui va à son anéantissement. elle a ainsi remercié
Allah pour cela.
mes frères de foi, le bas-monde est comme une prison pour le croyant et comme un paradis pour le non-musulman, tout comme cela nous est parvenu dans les traditions.
ne vous réjouissez que d’une science ou d’une œuvre de bien. c’est ce qui sera le compagnon dans la tombe, lorsque la famille, les biens, les amis et les enfants vont se retirer après t’avoir accompagné lors de ton enterrement.
ya' Allah, ne fais pas que le bas-monde soit le plus gros de nos soucis et fais que nous y soyons ascètes, toi qui est le plus miséricordieux des miséricordieux.
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