bismillah wal hamdulillah was salaatu was salaamu ^ala rasoulillah sallAllahu ^alayhi wa sallam:
l’auteur, que Allah lui fasse miséricorde, a dit : lorsqu'elle voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu'elle a les douleurs précédant l'accouchement, pendant une période de menstrues, le temps de sa durée et ne dépassant pas son maximum. alors cette période, même avec celle où elle n'a pas d'écoulement entre deux écoulements, est considérée dans sa totalité comme étant une période de menstrues. s'il dépasse les quinze jours, dans le cas où elle est moubtada'ah moumayyizah (ce qui veut dire que c'est le première fois qu'elle a les menstrues et qu'elle est capable de distinguer) comme si elle voit un sang fort et un sang faible. la période durant laquelle le sang était faible est une istihadah et la période durant laquelle le sang était fort est une période de menstrues. le fort étant un sang de menstrues s'il ne dure pas moins que le minimum des menstrues et s’il ne dépasse pas le maximum des menstrues, et si le faible n'a pas duré moins que le minimum de la période intermenstruelle en continu. dans le cas où elle n'est pas moumayyizah –capable de distinguer–, ou dans le cas où une des conditions citées n'a pas été remplie, alors ses menstrues sont de un jour et une nuit et sa période intermenstruelle est de vingt-neuf jours. dans le cas où elle connaît le temps du début de l'écoulement du sang ou dans le cas où elle est mou^tadah (habituée), comme lorsqu'elle a eu dans le passé une période de menstrues et une période intermenstruelle, elle se réfère à elles. son habitude est confirmée par une seule fois tant qu'elle ne se distingue pas. on la considère mou^tadah moumayyizah s'il n’y a pas eu interruption de l’écoulement pendant une période minimum de la période intermenstruelle. ou encore, elle peut être moutahayyirah –dans l’embarras–. dans le cas où elle a oublié son habitude de menstrues, aussi bien en durée qu'en période, elle est comme celle qui a les menstrues mais pas pour le divorce, ni pour une adoration qui nécessite une intention. elle fait le ghousl pour chaque obligation si elle a ignoré le temps de l'interruption de l'écoulement. elle jeûne ramadan qu'elle fait suivre d'un mois complet. il lui reste deux jours à jeûner si elle n'a pas été habituée dans le passé à avoir l'interruption de l'écoulement pendant la nuit. elle jeûnera pour ces deux jours à partir d'une série de dix-huit jours, trois au début et trois à la fin. il lui est possible de rattraper un jour en jeûnant un jour, le troisième et le dix-septième. si elle se souvient de l'une des deux alors son jugement est correspondant à ce dont elle est certaine ; pour ce qui admet les deux possibilités, elle est comme si elle les a oubliées toutes les deux. le minimum des lochies est la valeur d’un crachat. le maximum des lochies est de soixante jours. dans la plupart des cas, elles sont de quarante jours. lorsqu'elles dépassent les soixante jours, c'est comme si elles dépassent le maximum des menstrues.
explication au-dessous
l’auteur, que Allah lui fasse miséricorde, a dit : lorsqu'elle voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu'elle a les douleurs précédant l'accouchement, pendant une période de menstrues, le temps de sa durée et ne dépassant pas son maximum. alors cette période, même avec celle où elle n'a pas d'écoulement entre deux écoulements, est considérée dans sa totalité comme étant une période de menstrues. s'il dépasse les quinze jours, dans le cas où elle est moubtada'ah moumayyizah (ce qui veut dire que c'est le première fois qu'elle a les menstrues et qu'elle est capable de distinguer) comme si elle voit un sang fort et un sang faible. la période durant laquelle le sang était faible est une istihadah et la période durant laquelle le sang était fort est une période de menstrues. le fort étant un sang de menstrues s'il ne dure pas moins que le minimum des menstrues et s’il ne dépasse pas le maximum des menstrues, et si le faible n'a pas duré moins que le minimum de la période intermenstruelle en continu. dans le cas où elle n'est pas moumayyizah –capable de distinguer–, ou dans le cas où une des conditions citées n'a pas été remplie, alors ses menstrues sont de un jour et une nuit et sa période intermenstruelle est de vingt-neuf jours. dans le cas où elle connaît le temps du début de l'écoulement du sang ou dans le cas où elle est mou^tadah (habituée), comme lorsqu'elle a eu dans le passé une période de menstrues et une période intermenstruelle, elle se réfère à elles. son habitude est confirmée par une seule fois tant qu'elle ne se distingue pas. on la considère mou^tadah moumayyizah s'il n’y a pas eu interruption de l’écoulement pendant une période minimum de la période intermenstruelle. ou encore, elle peut être moutahayyirah –dans l’embarras–. dans le cas où elle a oublié son habitude de menstrues, aussi bien en durée qu'en période, elle est comme celle qui a les menstrues mais pas pour le divorce, ni pour une adoration qui nécessite une intention. elle fait le ghousl pour chaque obligation si elle a ignoré le temps de l'interruption de l'écoulement. elle jeûne ramadan qu'elle fait suivre d'un mois complet. il lui reste deux jours à jeûner si elle n'a pas été habituée dans le passé à avoir l'interruption de l'écoulement pendant la nuit. elle jeûnera pour ces deux jours à partir d'une série de dix-huit jours, trois au début et trois à la fin. il lui est possible de rattraper un jour en jeûnant un jour, le troisième et le dix-septième. si elle se souvient de l'une des deux alors son jugement est correspondant à ce dont elle est certaine ; pour ce qui admet les deux possibilités, elle est comme si elle les a oubliées toutes les deux. le minimum des lochies est la valeur d’un crachat. le maximum des lochies est de soixante jours. dans la plupart des cas, elles sont de quarante jours. lorsqu'elles dépassent les soixante jours, c'est comme si elles dépassent le maximum des menstrues.
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